Éduquée par son oncle, le futur saint Beuno, Wenefrid entre au monastère et y meurt paisiblement un 24 juin, au 7e s., selon un auteur. Un autre affirme qu'elle est victime de la violence du prince Caradoc et martyre de la chasteté. La source miraculeuse de Holywell, en pays de Galles, aurait jailli sur le lieu de son supplice. De nombreuses guérisons, obtenues grâce à l'eau de la "sainte-fontaine", sont attestées au cours des siècles. À la fin du 14e, Thomas Arudel, archevêque de Cantorbéry, ordonne que la fête de sainte Wenefrid soit célébrée par toute l'Angleterre.